GUISIANO Danielle
Bonjour Danielle,
Merci beaucoup d’accepter de répondre à quelques questions pour que les lectrices de « Mille Livres En Tête » puissent mieux te connaître – et moi aussi par la même occasion -. Pour celles qui te connaissent déjà, tu es l’auteure de nombreux ouvrages notamment « Où que tu sois T.1 & T.2 » et plus récemment « Les papillons se cachent pendant la pluie ».
1 – Peux-tu te présenter en quelques mots aux lectrices qui ne te connaitraient pas encore ? Es-tu écrivain à temps plein (sinon comment sont occupées tes journées) ?
Bonjour, tout d’abord merci de me donner la parole. Je vais essayer de répondre à tes questions, en général, je parle mieux de mes romans que de moi.
Si je devais me présenter, je dirais que j’écris depuis toujours et que je suis sur la scène littéraire depuis une dizaine d’années avec près de 10 publications en maison d’édition.
J’ai commencé par écrire de la romance fantastique, parue chez Rebelle éditions avec la duologie TOUCH, Les Larmes de Thétys, Ombre Vive... Je me suis essayée à la romance d’époque avec De ronce et d’écume, toujours chez Rebelle éditions, puis la romance contemporaine chez BMR (qui au début était Black Moon Romance) pour 2 titres : L’art et la Manière et Pannes de cœurs, puis j’ai signé la duologie Où que tu sois chez Hugo New Romance. J’ai évolué dans les styles, mais suis restée « romance », c’est mon carburant !
Je ne vis pas de ma plume, même si en ce moment je n’ai pas de travail rémunéré.
J’habite en Provence, et mes journées sont loin d’être régulières, parce que je fonctionne au feeling. Je ne sais jamais ce que je vais faire le lendemain… sauf, mes exercices de yoga, dès le réveil avant de déjeuner. J’aime la nature, les promenades à moto avec mon homme, les apéros entre amis et parfois la solitude aussi.
2 – Comment en es-tu venue à écrire ? Toute petite, remplissais-tu déjà des cahiers d’histoires de princes et de princesses ? Ou bien, à quel moment cette révélation t’est-elle apparue ?
Quand on se lance dans l’écriture, on est loin d’avoir conscience de pouvoir un jour être publié. J’écrivais des poèmes, des romances dont beaucoup sont restées dans des cahiers d’adolescente. C’était surtout pour m’évader, me créer un joli monde qui matérialisait mon imagination débordante. Puis, une plateforme internet est apparue, c’était My Major Company Books. Un genre de Wattpad en fait. On pouvait déposer ses textes et les autres auteurs pouvaient mettre des commentaires. J’avais mis des extraits de TOUCH, et face à l’engouement des lecteurs, j’ai fini par le proposer à une maison d’édition : Rebelle. La suite, c’est le cheminement vers la publication.
Je ne peux pas dire que l’envie d’écrire apparaisse un jour. C’est latent, on s’y consacre quand on a du temps, on aime filer des intrigues, on se fait plaisir au fil des mots.
Par contre, je n’ai jamais écrit d’histoires de princes ou princesses ; mes premiers textes étaient des récits d’aventures !
3 – As-tu toujours beaucoup lu ? Te décrirais-tu comme une lectrice boulimique ou raisonnable ?
J’étais une lectrice insatiable. J’ai lu. Beaucoup. De tout. En ouvrant aussitôt un autre livre dès que j’en avais terminé un. La bibliothécaire me connaissait bien ! J’ai avalé la saga des « Angélique » en un été. J’adorais cette femme aventureuse et sensuelle, et en avance sur son époque. Puis, la série des « Jalna » et beaucoup d’autres. Depuis que j’écris, je lis beaucoup moins et suis devenue un peu plus sélective aussi. Si un roman ne me séduit pas dans les 50 premières pages, j’abandonne et passe à un autre. J’ai trop d’envie dans ma PAL
4 – Quel est le Top 3 de tes styles littéraires ?
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, mon style préféré est le fantastique, avec une préférence pour la fantaisie. Si je devais citer une auteure phare, c’est évidemment Robyn Hobb. Viennent ensuite Patrick Rothfuss, Pierre Pevel, David Gemmel…
La romance arrive en deuxième position. J’inclus dans la romance, le roman féminin. Mes auteurs phares sont Bittany C Cherry, Coleen Hoover, Georgia Caldera, Laure Manel…
Le dernier style qui me plaît depuis peu, c’est le feel-good, et j’aime particulièrement Agnès Martin Lugand
5 – As-tu des auteures incontournables, dont tu as lu tous les livres et dont tu es une fan inconditionnelle ?
Je t’ai répondu au dessus, je suis fan de Robyn Hobb… mais pas inconditionnelle. J’apprécie de la lire, mais je ne suis pas de celles qui se précipitent sur son nouveau roman à la sortie. En général, j’attends un peu d’avoir le temps et l’envie de passer un bon moment pour l’acheter.
6 – Peux-tu nous raconter un peu ton parcours d’auteure déjà bien accomplie ? Parcours du combattant ou long fleuve tranquille ?
Comme, je le disais plus tôt, j’ai fait mes premiers pas sur une plateforme de partages de textes. Ensuite, quand on commence à avoir un éditeur, il faut s’armer de patience. Parce que l’éditeur met un certain temps à lire le manuscrit, puis encore un certain temps à envoyer un contrat et à valider une date de publication. De plus, rien n’est acquis. L’éditeur peut parfaitement refuser un projet qu’on lui soumet. En fait, c’est à chaque publication un challenge : aller au bout du projet, séduire l’éditeur, puis se préparer à re-travailler le texte pour le rendre meilleur, et prendre patience pour avoir une date de publication qui très souvent me paraît toujours trop lointaine. Je suis d’un naturel impatient.
7 – Pour les personnes qui hésitent à se lancer et avec ta grande expérience, quels conseils ou astuces donnerais-tu pour réussir et éviter les embûches ?
Je crois que le seul conseil que je peux donner, c’est de ne pas se démotiver. Parce que les refus, ça use. Puis, ensuite les retours du suivi éditorial peuvent parfois heurter l’auteur, parce que le travail est jugé et souvent les passages plus faibles sont pointés du doigt. Et ensuite, contrairement à ce que l’on croit, rien n’est gagné, car c’est l’accueil des lectrices qui fait la notoriété d’un roman. Des astuces pour écrire un livre, il y en a plein, il faut se tourner vers les écoles d’écritures qui donnent des trucs pour articuler correctement le récit. De mon côté, j’ai toujours fonctionné au feeling, je n’ai jamais fait appel à ces écoles, qui disons-le, il y a 10 ans, n’existaient pas.
8 – As-tu un rituel d’écriture et quel est, pour toi, le moment le plus propice pour écrire ? Toujours une boisson ou une gourmandise à portée de main ?
Je vais te décevoir : je n’ai aucun rituel, ni sucrerie, ni thé à portée de main. Je n’ai même pas de moment propice dans la journée. Bien sûr, je n’écris pas dix minutes par ici, ou vingt minutes par là. Quand je me mets au travail, il faut compter minimum deux heures, même si parfois ça avance moins vite que prévu. Mais, je ne compte pas non plus le nombre de mots que j’ai écrit. J’ai un caractère un peu bohême, et j’avoue que tout ce qui est organisation, statistiques ou prévision me rebutent. Le laisser venir c’est bien, mais parfois ça n’est pas très productif.
9 – Que représente l’écriture pour toi ? As-tu peur de la panne de l’écrivain ?
L’écriture c’est un besoins viscéral. Quand bien même mes textes ne seraient pas lus, j’aurais besoin d’écrire. C’est un équilibre dans ma vie, comme certains ont besoin de faire du sport pour le simple plaisir. Il m’est arrivé d’avoir la panne de l’écrivain, c’est certain, mais je me suis rendu compte que c’était toujours lorsque je me fixais un objectif en disant : « je dois faire ça » au lieu de penser « j’ai envie de faire ça »… Mais, j’ai désormais la parade à la page blanche, et ce grâce à ma formation en « écoute profonde » qui débloque énormément de situations, et pas seulement le syndrome de la page blanche.
Maintenant parlons un peu de tes romans.
10 – Pour cerner l’auteure complète que tu es, peux-tu nous les détailler ?
♦ Touch, tome 1 Rédemption, Rebelle Éditions, 2014
♦ Touch, tome 2 Réminiscence, Rebelle Éditions, 2014 (romance fantastique sur le chamanisme)
♦ De ronces et d’écume, Rebelle Éditions, 2015 (romance d’époque)
♦ Ombre vive, tome 1, Rebelle Éditions, 2016 (romance fantastique sur les fantômes)
♦ L’art et la Manière, Hachette Livre BMR, 2015 (romance contemporaine)
♦ Pannes de cœurs, Hachette Livre BMR, 2017 (romance contemporaine)
♦ Où que tu sois, tome 1, Hugo Poche, 2019 (New Romance)
♦ Où que tu sois, tome 2, Hugo Poche, 2019 (New Romance)
♦ Les Papillons se cachent pendant la pluie, auto-édition (F.good)
11 – Te souviens-tu de ton tout premier roman et de tout ce qui l’entourait ? Comment as-tu vécu sa pré-sortie et l’accueil du public ?
Je me rappelle de TOUCH, parce qu’avant de paraître chez Rebelle édition, il a fait ses preuves chez un micro-éditeur belge : Atine Nenaud.
C’était le baptême du feu, et j’ai eu beaucoup de mal à trouver des chroniqueuses pour en faire des articles. Il n’y avait pas beaucoup de blogs à cette époque (pas si lointaine). Ensuite, Rebelle l’a publié, et j’ai été mieux connue, car la maison d’édition avait ses services presse. La graphiste, Miesis avait fait un travail extraordinaire, et TOUCH a immédiatement connu un joli succès auprès des lectrices. C’était magique pour moi qui n’avais jamais pensé à publier ce roman. Je l’avais écrit pour moi.
Pour ce qui me concerne, je t’ai découverte avec ta duologie « Où que tu sois » parue chez Hugo Poche qui a été un formidable coup de ♥ pour moi.
Mes deux avis complets sont ici :
Où que tu sois - T.1 : Je t'entendrai / Danielle GUISIANO
Où que tu sois - T.2 : Je t'attendrai / Danielle GUISIANO
12 – Quel est le parcours de cette belle histoire – de la 1ère idée qui l’a vue éclore jusqu’à son édition par Hugo Roman - ? Compte tenu du contexte de l’histoire et de l’évolution d’un tome à l’autre, son écriture a-t-elle été « éprouvante ou compliquée » ?
« Où que tu sois » est parti d’un fait divers. Une copine de travail avait assisté à un accident de moto et elle pleurait lorsqu’une femme qui était présente l’a rabrouée en lui disant : « Arrêtez, il entend tout ce qui se passe autour de lui ». C’était il y a des années, mais un soir, je suis rentrée chez moi et j’ai eu le scénario de « Où que tu sois » dans la tête. J’ai passé deux heures non stop à tout retranscrire avec les chapitres, la trame, le dénouement. Bien sûr, le squelette de base a été ensuite rempli d’intrigues secondaires. Mais Sevan et Zoé avaient déjà leur place
.
Pour ce qui est des scènes difficiles, j’ai travaillé pendant de longues années dans un centre de rééducation.
J’ai eu le loisir de côtoyer des polytraumatisés, des blessés de la route et j’ai vécu leur parcours en direct, avec leurs douleurs, leurs frustrations, leurs efforts, leurs petites victoires et j’ai vu l’équipe soignante s’investir à fond pour leur rendre une autonomie acceptable. Ce qui m’est resté de cette période, c’est l’espoir fou qu’un soignant peut insuffler à un patient et les prodiges que ce dernier peut faire quand il se sait soutenu.
Puis j’ai eu le grand bonheur de découvrir, sous partenariat, ton dernier roman « Les papillons se cachent pendant la pluie » paru en auto-édition le 1er juillet 2020 et qui a été aussi un joli coup de ♥. Quelque chose me dit que ce roman a une saveur toute particulière comme tu le laisses entendre dans les remerciements.
Mon avis complet est ici :
Les papillons se cachent pendant la pluie / Danielle GUISIANO
13 – Peux-tu nous expliquer s’il a fait l’objet d’une manière d’écrire différente par rapport à tes précédents ouvrages ? Comme on peut le voir parfois dans les films, cette histoire est-elle inspirée de faits réels ?
Comme je le dévoile dans mes remerciements, ce roman est beaucoup plus intimiste que les autres. Il est particulier pour moi. Parce que j’aborde un sujet qui m’a touchée de près, puisque j’ai fait un burn-out professionnel, et que j’étais dans un tel état de confusion, que je n’arrivais plus à lire et encore moins à écrire.
Cette période a été difficile, mais j’avoue qu’elle m’a aussi permis de me découvrir moi-même, comme le personnage de Blanche, j’accordais trop d’importance à ce que tout soit parfait autour de moi. Je voulais être une wonder woman, wonder maman, wonder épouse… enfin bref… j’ai perdu celle que j’étais à l’intérieur, je l’ai muselée au point de la blesser, de me blesser.
Donc, le parcours de Blanche n’a pas été difficile à décrire. Ensuite, j’ai imaginé l’histoire d’Eddy en me basant sur le caractère d’un garçon que j’ai connu, il y a fort fort lointain… MDR… et j’avais envie d’imaginer ce que cet adolescent serait devenu à l’âge adulte. J’avais le caractère de mon personnage masculin. Y avait plus qu’à tisser la trame.
14 – Comment es-tu arrivée à accompagner les personnages de Blanche et d’Eddy dans leur parcours vers une reconstruction pour ne pas dire une renaissance ? Sereinement ou avec quelques inquiétudes ?
Le parcours que j’ai tracé pour Blanche et Eddy était un chemin serein, parce que j’avais moi-même dépassé mes démons, et que j’avais les clefs pour les mener vers la lumière. J’ai pris beaucoup de plaisir à livres les étapes qui m’ont libérées, et j’espère vraiment que les lecteurs qui se reconnaîtront dans ce roman sauront aussi dépasser le sas de la meurtrissure pour s’élever vers la joie d’être soi, unique et en vie.
15 – Comme certains auteurs en ressentent le besoin parfois, après l’écriture d’un tel roman, as-tu besoin de faire une pause ?
Ce qu’il faut savoir, c’est que « Les papillons » a été écrit depuis plus d’une année. Il a a été soumis à mon éditrice qui a mis un temps certains pour me répondre, et me dire, ennuyée, qu’il n’entrait pas dans la case New Romance. A ce titre, il ne pouvait pas être édité comme tel, et comme nous étions d’accord toutes les deux pour dire que changer certaines choses le dénaturerait, j’ai envisagé l’auto-édition. Ensuite, j’ai mis un certain temps à passer le pas, parce que c’est pas facile, pour moi qui suis écrivain de me bombarder éditeur, même auto. J’avais une exigence et je me suis entourée de professionnels pour m’assister. Le résultat est à la hauteur de mes espérances. J’adore la couverture et l’élan que Maya Aasri lui a donné.
16 – Dans le livre, tu évoques vaguement l’origine du titre « Les papillons…. ». Je ne vais pas spoiler bien sûr, mais toi, peux-tu nous en dire un peu plus sur ce qui te l’a inspiré ? D’où viennent les titres de nos romans ?
C’est une bonne question, parce qu’en tant qu’auteur, j’ai souvent le titre avant le roman. Un jour, c’était le début de l’été, j’avais vu des papillons voler dans le jardin, et soudain il y a eu un orage. Et mon cerveau, toujours en ébullition, s’est demandé où se cachaient les papillons pendant la pluie. Le titre était pratiquement né, c’est dans le nuit qu’il s’est imposé et que je l’ai attribué au roman qui n’en était qu’au stade embryonnaire.
17 – Es-tu sensible à la critique littéraire (bonne ou mauvaise) ?
Oups… sujet tabou pour un auteur. Quand on passe des mois avec nos personnages, qu’on les aime, qu’on les bichonne, et qu’on passe un temps fou devant un clavier en négligeant sa famille, on est trop heureux d’avoir de bons retours sur le roman. J’accepte les mauvais retours, à condition que la critique soit argumentée. Et j’avoue que cela m’a permis de m’améliorer au fil du temps, parce qu’une bonne critique permet toujours une remise en cause et un apprentissage. Par contre, il m’est arrivé d’avoir des retours agressifs non justifiés, en critiquant le fait que le récit était au passé composé par exemple (pour TOUCH). J’ai pensé qu’une personne qui ne voulait que lire des romans au présent était une personne qui se limitait.
18 - A tes débuts, est-ce que d’éventuelles critiques auraient pu t’inciter à te remettre en question au point de vouloir tout arrêter ? Ou as-tu un moral d’acier à toutes épreuves ?
Oui et non. Parce que les retours négatifs font mal, on se demande pourquoi on a pas vu le fait relevé, comment on est passé à côté, ou pourquoi le lecteur est passé à côté. Ça aussi ça arrive que le lecteur n’arrive pas entrer dans le roman, et je comprends maintenant que tout ne s’explique pas. Parce qu’il y a autant de ressentis que de personnes. Et puis, je ne peux pas m’arrêter d’écrire, c’est fondamental pour moi. Je ne crois pas qu’il s’agisse de moral d’acier, je crois qu’on ne peut pas aller contre sa nature, et la mienne c’est de narrer.
19 – Si tu avais la possibilité de prendre la place de l’une de tes héroïnes, laquelle serait-ce ?
Et pourquoi ce choix ? Waouh, c’est difficile à répondre. Mes héroïnes je les malmène souvent… J’hésite entre Loïs d’Ombre Vive, qui est une fille qui a décidé de s’affranchir de toutes les chaînes dans sa vie, et qui est capable de rejeter un homme parce qu’il est trop possessif : sa liberté est plus forte que tout. Ou alors, j’aime assez le personnage d’Astrid dans Les larmes de Thétys, parce qu’elle aussi est une indépendante née, et qu’elle n’a pas le choix car la survie de son espère en dépend. Malheureusement pour toi, ces deux romans ne sont plus en vente…
20 – Pour terminer, peux-tu nous confier en quelques mots si tu travailles sur un prochain projet ? Aurons-nous le plaisir de te lire pendant de nombreuses décennies ?
OUUIIII ! Un nouveau projet est chez l’éditeur, j’ai eu son retour, positif. J’ai un travail d’approfondissement à faire, mais normalement il sera publié chez mon éditeur, Hugo, pour ne pas le citer. Par contre, pas encore de date pour le moment. Puis, un autre projet aussi s’est mis en route, sans doute un nouveau auto-édité, parce que le sujet sera aussi un truc un peu particulier.
Petit quizz – Tu es plutôt :
♦ Thé ou Café (ou chocolat, mojito, etc… si tu préfères) : Thé, j’adore découvrir de nouveaux thés, mais j’aime bien aussi le mojito dans les soirées…
♦ Sucré ou salé : plutôt salé, même si j’adore faire des tiramisus !
♦ Films romantiques, films d’action ou séries TV : Je suis une accro au films romantiques. Mais j’aime aussi les muscles saillants de certains acteurs dans les films d’aventure. J’adore les MARVEL et autres films fantastiques.
♦ Printemps, Eté, Automne ou Hiver : J’aime toutes les saisons, parce que j’habite à la campagne et que j’aime voir la nature changer de couleur. Mais l’automne est tout de même la saison où on récolte ses fruits ; donc j’aime particulièrement.
♦ Du matin ou du soir : Je suis une lève-tôt. J’adore me lever la première, prendre mon temps dans le silence et faire mes exercices de yoga avant que tout le monde s’agite. Le soir, je ne me couche pas tard, sauf en soirée festive of course, j’adore danser.
♦ Cocooning ou sportive : Ni l’un, ni l’autre. J’ai trouvé un équilibre en respectant mon corps, en l’assouplissant tous les jours mais sans faire de cardio (je déteste les sports cardio). Le cocooning, c’est parfois en hiver, le soir devant la cheminée avec un bon film ou série sur Netflix
♦ Homme romantique ou macho man : Oups… l’homme romantique est extraordinaire, mais je n’aime pas qu’il soit trop gnangnan, j’ai besoin de sentir une force intérieure, un caractère typiquement masculin et parfois un peu macho, mais à petite dose.
♦ Vacances à la mer, à la montagne ou à la campagne : La mer à l’automne, la montagne l’été et la campagne aussi souvent que possible. Je n’aime pas la foule, donc je vis un peu à contre courant des autres.
Merci énormément Danielle d’avoir eu la gentillesse de m’accorder un peu de ton précieux temps. Je te souhaite le meilleur à venir et pour avoir chroniqué deux de tes histoires qui ont fini en coup de cœur, je ne peux que conseiller aux lectrices qui ne te connaissent pas encore, de découvrir ta belle plume.